Biographie des musicien.nes

Cathy Mori Jazz
guitariste
Cathy Mori surnommée C.M. pour «Maitresse de Cérémonie» est une guitariste avec l’envie
d’apprendre, de partager, de communiquer et d’aimer l’univers tout entier. Actuellement en
soins attentifs ! ;=)
Née à Marseille, issu de l’immigration, toujours volontaire et partante pour l’aventure, elle fait
des études de physique quantique à la faculté de Saint Charles en 1989 et devient professeure de
physique chimie. Puis elle fabrique deux merveilleuses filles. C’est en l’an 2000 à la naissance
de Delphine qu’elle ressort sa vieille guitare classique pour lui chanter «une chanson douce»
de Henry Salvador. C’est à l’arrivée de Manon en 2005 qu’elle chante à tue-tête «Société tu
m’auras pas !» !
En 2018, elle apprend la magie des accords de Django Reinhardt grâce au bœuf manouche
organisé bénévolement par Guillaume Simon au Café Culturel Citoyen, appelé communément
le 3C. Elle aime accompagner les chorus des musiciens. Elle écoute attentivement les Jams
Sessions de la région d’Aix et prend des cours d’ensemble avec Carl Bouchaux.
En 2022, elle s’inscrit en formation musicale au conservatoire de Marseille avec Violaine
Sultan. Puis elle donne sa vieille guitare et achète une guitare jazz avec deux ouïes et six grosses
cordes. Elle prend des cours, apprend ses gammes et ses arpèges avec Éric Casanova. Elle sait
que le chemin est encore très long, mais il est merveilleux, parsemé de merveilleuses fleurs et de
petites cigales.
Le 2 novembre 2023, elle se réveille quasiment seule et se pose la question de l’utilité de la vie.
Inconsciemment, pour résoudre cette problématique existentielle, elle utilise la musique. Elle plonge à corps
perdu dans le jazz.
Par une succession de belles rencontres, elle accouche de la «JAM JAM JAZZ», appelée
communément la 3J, une Jam Session qu’elle organise et pilote en tant que bénévole du Café
Culturel Citoyen. Elle prépare et réalise avec les musiciens et musiciennes qui le souhaitent
l’ouverture de la Jam. Elle crée la «TEAM JJJ» avec des amis fidèles pour la seconder dans l’organisation. Elle aime le dialogue et la gestion de groupes.
En 2024, elle souhaite progresser. Elle se forme à Marseille avec Gérard Sumian, guitariste et pédagogue, pour apprendre l’harmonie et l’art de l’improvisation.
Par son optimisme toujours présent, sa capacité à organiser, ses talents d'écrivaine et de graphiste, elle devient alors Lead dans la formation, à géométrie variable, «JAZZ ON THE BEACH».
Le jazz n’est pas juste une musique, c’est une manière de vivre, de créer, d’être libre, de
partager, d’improviser, d’aimer.
Anne Leguyader
Saxophoniste
Anne LE GUYADER est née en 1969 en Normandie. Vers l'âge de 8 ans elle commence à étudier le piano. Après un bac de lettres et arts elle s'oriente en faculté de musicologie à Rouen tout en suivant les cours de solfège au conservatoire de Caen et de Rouen. À l'époque elle travaille entre autres avec les livres de rythme d’Yves Callier professeur à Marseille, et sans trop savoir pourquoi, elle est attirée par cette ville. Elle passe donc sa licence de musique à Aix, étudiant au passage l’analyse musicale et l’harmonie aux conservatoires d’Aix et de Marseille. Et bien sûr aussitôt arrivée dans le Sud, elle suit les cours d’Yves Callier, avec qui elle découvre ses premiers morceaux de jazz avec le Blue Rondo à la Turk de Dave Brubeck.
Après le CAPES et quelques années de professorat, c’est décidé, elle délaisse le piano au profit du saxophone qui lui paraît beaucoup plus intuitif. (Mais elle garde son piano!) Elle intègre vers 26 ans les ateliers de Gérard Sumian. Peinant au début de sa carrière de prof à s’investir à la fois dans son métier et ses loisirs musicaux, elle délaisse de longues années son fidèle saxo qu’elle redécouvre enfin 10 ans plus tard. Elle retourne alors chez Gérard Sumian et suit toujours ses cours, qui lui apportent beaucoup. Elle joue depuis plusieurs années dans divers groupes et dans des jams. Elle adore inventer des 2des voix et faire des ponctuations derrière les chanteurs et chanteuses.
Toute la délicatesse du jazz dans les doigts de Anne !


Anne Aubry
saxophoniste
Anne AUBRY a commencé la musique à l’âge de 7 ans par des études de piano classique à
Toulouse.
Durant 11 ans, elle va découvrir et jouer les grands compositeurs des « classiques favoris » avec
une préférence pour la musique romantique de Frédérique Chopin. Durant sa dernière année de
formation musicale à Toulouse, elle découvre le Jazz avec son professeur de solfège, Michel
Itier, qui lui prête son premier saxophone pour jouer dans l’orchestre de son école de musique.
A 18 ans, Anne quitte Toulouse pour Paris afin d’entamer son cursus universitaire. En parallèle
de ses études au CELSA, école de communication au sein de l’université de La Sorbonne, elle
va s’essayer à d’autres instruments, notamment au violon en jouant sur celui de son grand-père
dans le cocon de sa chambre d’étudiante.
Après une longue période d’activité professionnelle dans la communication puis en tant que
professeur des écoles et une vie de famille bien remplie avec cinq enfants, elle renoue avec la
musique il y a une dizaine d’années en choisissant le saxophone, d’abord l’alto puis le ténor,
pour entrer pleinement dans l’univers du Jazz.
Au fil de stages et de jams, elle fait la connaissance de nombreux musiciens et intègre
différentesformations en trio, quatuor, quintet, sextet. Elle joue notamment durant ces dernières
années avec le « Grave et Léger sextet », « Los Alphabeticos », « Les Jazzouilleurs », le
collectif « Jazz on the beach »… Avec ces groupes, Anne monte sur les planches dans les
festivals de Jazz de la région tels que « Jazz sous les Etoiles », le festival « Peypin Dingue »
ou « Jazz à 30 gouttes » où elle interprète un répertoire éclectique alternant entre les rythmes
latins, le swing et le funk.
J'adore !
Delphine Mercuri
Saxophoniste
"Saxophoniste éclectique de Jazz On The Beach.
Mais aussi danseuse et chanteuse.
Delphine, professeur d'éducation physique et sportive, a développé de nombreux projets sportifs et musicaux avec ses élèves.
Elève de Gaël Horellou, bénévole à Marciac.
Actuellement dans plusieurs groupes de salsa et de jazz.
Elève au conservatoire de musique de Perpignan.
Avec des projets plein la tête et plein le coeur !"
Merci de toi !


Odile Iacono
Pianiste
Petite fille d'une professeure de piano, Odile commence la pratique de l'instrument à 6 ans, avec l'étude de pièces classiques, accompagnée par une enseignante privée, en région parisienne. A l'adolescence elle abandonne le clavier, Bach, Mozart et Chopin et ne reviendra vers la musique qu'après l'obtention de son diplôme d'infirmière. Devenue instrumentiste au bloc opératoire, elle suit les conseils d'un de ses patrons chirurgien qui pratique la guitare de Django Reinhardt : "...et pourquoi ne pas vous mettre au jazz vous appréciez ce style". Elle se lance donc avec curiosité dans les méandres des accords et des rythmes syncopés.
Rêvant rapidement de s'entourer d'autres instruments et musiciens, elle participe pendant plusieurs années aux ateliers de Christian Bon à Vitrolles, développe l'improvisation, les enrichissements des accords au clavier. C'est avec un professeur du conservatoire d'Aix en Provence - Philippe Coromp - qu'elle trouvera une véritable méthode de travail, et va s'entourer d'autres joueurs de jazz pour une pratique régulière en formation.
Actuellement, elle joue avec un sextet (Grave et Léger ), qui participe régulièrement au festival de Peypin d'Aigues, et s'est produit en 2022 au fameux festival : Jazz sous les Etoiles" à Bouc Bel Air.. Elle fait également partie du quartet "Stolen Jazz", avec des concerts réguliers dans la région provençale, pour des évènements privés, restaurants ou brasserie. Aujourd'hui elle travaille comme infirmière dans un collège proche de Marseille et mène conjointement des études de musicienne au sein de l'INSTITUT MUSICAL de FORMATION PROFESSIONNELLE (IMFP) à Salon en Provence.
Elle participe depuis peu au groupe "Jazz on the beach" et retrouve avec joie l''équipe de Cathy Mori au Café Culturel Citoyen (les 3C) à Aix-en-provence pour l'ouverture de la JAM JAM JAZZ chaque troisième mercredi du mois.
Merci Odile pour ton sourire et ta justesse !
Béatrice Fontaine
Bassiste
Béatrice est née dans une famille où la musique était une évidence, comme le
fromage à la fin du repas.
Il y avait le piano des ainé.es, pour séduire ou s’évader, selon la personnalité de
chacun.e, leur violoncelle, leur batterie, leur guitare, le magasin de disques du père,
continent magique de découvertes sans fin ; il y avait la musique, toujours,
intimement tissée dans le quotidien. Il y a eut pour elle le piano, un peu, et puis la
guitare, des colos à la cour du lycée, en passant par le conservatoire. Et bien sûr, le
chant, comment ne pas chanter ?
La guitare, longtemps, et les études de musique à la fac. Elle a vécu la solitude du
guitariste classique, l’exigence folle et absolue du travail musical pour façonner le
son, polir les phrases, faire sonner Bach, Takemitsu, Brouwer, un émerveillement ! Et
les rencontres. Car la musique restera toujours d’abord celles et ceux qui la jouent.
Alors, quitter la solitude et trouver un instrument qui permette ces échanges
humains sur la planète musique, c’était devenu tellement important : le violoncelle, la
contrebasse aux couleurs si chaudes ? Petit à petit, sans brusquerie, sans même y
penser, un projecteur s’est allumé sur la basse.
Basse électro-acoustique d’abord, on ne quitte pas comme ça le monde de
l’acoustique ! Elle a eu l’occasion de jouer dans un trio de musique traditionnelle
vénézuélienne, chant avec percussion, cuatro et basse, quelques mois pour goûter le
plaisir de la musique à plusieurs, de se sentir au service d’un projet plus grand que
soi, n’être qu’un des doigts sur la guitare, commandés par la même main.
Et puis, de rencontres en rencontres, passer à l’électrique et découvrir l’énergie de la
scène en jouant un répertoire magnifique de salsa. Eddie Palmieri, Willy Colon, Ray
Baretto, Pacheco et tous ces grands musiciens à la force de vie incroyable. La scène :
de magnifique moments d’énergie pure, d’osmose parfaite entre les musicien.nes.
De là au jazz, le pas n’était pas grand à franchir. Le jazz, donné à la cuillère par un
père dont c’était l’adolescence et la jeunesse, une évidence, un retour aux couleurs et
rythmes de l’enfance. Le jazz lui aussi, lui surtout ? est fait de rencontres humaines, le
jazz est un voyage !
Voyage exigeant vers la planète musique, voyage accompagné et guidé par un grand
maître, humble et exigeant, Gérard Sumian.
Toujours et encore en voyage, il fait bon jouer, le but est le voyage.
Merci de voyager délicieusement avec nous !


Arthur Spring
Batteur
Arthur Spring découvre la musique dès son plus jeune âge à Los Angeles. Nous sommes au
milieu des années soixante-dix et comme deux tiers des garçons de la Californie du Sud, il se
consacre à apprendre la guitare électrique style-Led Zepplin et fumer du cannabis quand les
vagues sont trop petites pour surfer. Les résultats ne sont pas glorieux.
Adolescent typiquement désenchanté, ses gouts musicaux évoluent vers le jazz avant-gardiste
des années soixante qui ne reflète en rien sa vie d’enfant gâté d’un des quartiers aisés de Los
Angeles. Néanmoins, après cinq années d’étude de la guitare, Il échange sa Gibson pour un
saxophone ténor. Ses parents sont soulagés de voir partir l’ampli mais ils subissent une grosse
déception quand ils se rendent compte que le nouvel instrument est aussi bruyant sans
amplification. Quand l’ado part un weekend pour faire du surf et fumer des joints, ses parents
font une donation du saxophone à l’Armée du Salut. Sa carrière de musicien se termine.
Quelques années plus tard, grâce à une évolution de carrière peu réfléchie, il se trouve dans la
ville de Minneapolis aux États-Unis ou les hivers sont longs et les musiciens sont nombreux.
(Il n’y a que ça à faire.) Il se met à la batterie jazz. Ayant un sens de rythme médiocre et un
jeu peu intéressant, il développe et met en application une stratégie musicale pour se faire
accepter dans des groupes locaux de jazz. Il amène toujours de la bière et des chips aux
répétitions et il ne tape pas trop fort sur ses tambours.
Comme il est entièrement séduit par la
musique, Il sourit beaucoup quand il joue, ce qui ne nuit pas à l’ambiance non plus.
En 2021 il s’installe à Ansouis il joue avec plusieurs groupes, notamment, Le Couine Tète,
Stolen Jazz, Jam Jam Jazz et Jazz on the Beach.
Il continue à réfléchir sur le destin de son saxophone disparu.
Arthur, mon batteur américain !
Aart Joppe
Pianiste
Aart Joppe, 57 ans et de nationalité néerlandaise, a appris à jouer du piano dès l'âge de six ans
avec sa mère. En plus de sa formation classique au piano, il a monté un groupe de musique pop
avec des amis au lycée. Ils jouaient régulièrement des reprises des années 70 et 80 lors de fêtes
scolaires, de clubs sportifs locaux et à d'autres occasions.
À 18 ans, Aart est parti étudier l'informatique à Rotterdam. C'est là qu'il a été captivé par le
jazz. Avec d'autres étudiants, en grande partie autodidactes en matière de jazz, il a beaucoup
joué pendant ses études dans des pubs, lors de fêtes étudiantes, de mariages… Ils jouaient en
duo, trio, quartet ou quintet.
Après les études, le groupe s'est séparé et chacun a suivi sa propre voie. Pendant 20 ans, Aart
n'a pratiquement pas joué de jazz. Après avoir déménagé à Bruxelles, il s'est inscrit dans une
académie de jazz où il a pris pour la première fois des cours de piano jazz. Il joue à partir de ce
moment-là dans différents groupes à Bruxelles.
Depuis quelques années, Aart vit à temps partiel en Provence. Grâce au jazz, il a rapidement
fait connaissance avec d'autres musiciens. Il joue régulièrement dans diverses formations et lors
de jams.
Keith Jarrett, Brad Mehldau et Chick Corea sont de grands exemples pour lui. L'une de ses
chansons préférées est Blackbird, interprétée par Brad Mehldau.
Toute la poésie du jazz dans les doigts de Aart ! Merci mon ami !


Delphine Nérot
Chanteuse
Après une éducation musicale ponctuée par les médailles d'or de hautbois et de musique de chambre au conservatoire de Montpellier, d’une
admissibilité au CNSM de Lyon, elle fait une pause musicale qui dure...
Sans vouloir se l’avouer, la musique lui manque énormément.
Elle devient graphiste, l’art et la créativité ayant depuis toujours une place prépondérante dans sa vie.
Pour quelques années place à la vie de famille, 4 enfants ça prend tu temps.
Puis un retour à la fac pour de l’art plastique et développement d’activités artistiques : peinture et céramique. Au hasard de belles rencontres, Delphine fait il y a quelques années un retour heureux à la musique en tant que chanteuse de jazz. Un vieux rêve...
Elle puise son inspiration parmi les grandes voix du jazz Sarah Vaughan, Ella, Véronica Swift, Samara Joy avec une tendresse particulière pour Carmen McRae et Tony Bennett... mais surtout dans le jazz dans son ensemble !
Le jazz devient son oxygène, allant parfois jusqu’à 3 fois par semaine au concert ou en jam. Elle écume les jams de la région, excellente école
d’apprentissage et d’adaptation et rencontre de nombreux musiciens.
Retour au conservatoire en classe de Jazz à Marseille et obtention du CEM en 2023.
Elle chante actuellement dans différentes formations allant du duo au big band, dont JazzMania le big band de Lambesc dont elle est la chanteuse.
Elle chante ou a chanté avec : Claude Prezioso (duo 2 voix accordéon-voix Siamo et dans différentes formations), Stéphane Mondésir, Fred Drai, Gérard
Gatto, Adrien Coulomb, Mao Lerabo, Jean-Paul Artero, Bernard Cesari, Gérard Gatto, Nicola Sabato, Cédric Chauveau, Michael Santanastasio, Max Briard....
Elle a chanté à Jazz Fola à Luynes, au HotBrass à Aix en Provence, au Rouge Belle de mai, au Club 27 et à La Caverne à Marseille et dans de nombreux lieux de concerts de la région, dont Jazz en Sol mineur avec le
Big Band d’Aix en Provence. Elle s’est également produite dans l’Hérault lors
de concert de JazzOrb à Bédarieux (34).
Une modestie sans pareil.
Elle chante maintenant pour Jazz On The Beach ! Et elle possède une tendresse en général que j'aime à la folie !
Jean-François MerlinContre-bassisteguitaristearrangeurcompositeur
Après avoir complété des études en informatique, il a entrepris un parcours autodidacte dans
l'apprentissage de la guitare. Par la suite, il a poursuivi ses études au sein des Conservatoires
de Musique de la région, notamment dans la classe de jazz à Aix et Marseille, se spécialisant
dans la contrebasse classique. C'est à ce moment-là qu'il a découvert la contrebasse, un
instrument qui allait devenir le pivot de sa carrière musicale. Son ouverture d'esprit en matière
de musique l'a amené à se produire sur des scènes nationales et internationales, lui permettant
d'explorer une multitude de styles de jazz, tels que le Dixieland, le New Orleans, le Swing, le
Be Bop , hard bop et le Jazz Contemporain.
Sa curiosité l'a également conduit à s'aventurer dans d'autres genres musicaux, tels que la
musique du monde et la pop.
En tant que musicien passionné, il se laisse séduire par des collaborations éclectiques, telles que
celle avec Rit (Reggae, Découverte du Printemps de Bourges 2001), Moneim Adwan (musicien
de renommée internationale palestinien), Tox Drohart (percussionniste de Michel Petrucciani),
Kid Dutch (musicien emblématique de la Nouvelle-Orléans), Serge Dupire (Hommage à
Sinatra) ainsi que les groupes Hot Lips Parade (Happy Swing), Africa Express (Jazz Ethnique),
Vagalum (Jazz Compo), I Remember Benny (hommage à Benny Golson – Hard Bop), Small
Swing Machine (hommage à Benny Goodman/ Lionel Hampto), Kiproco parmi d'autres.
En parallèle de son implication artistique, il a également fait preuve d'entrepreneuriat en
collaborant avec Christian Bon pour la création d'une École de Musique, Atelier Guitares
Plurielles, à Aix en Provence. De plus, il a contribué à la création d'un Club de
Jazz/Restaurant/Cave à vin, Le Clos des Magnans, à Aix en Provence, proposant jusqu'à quatre
concerts par semaine. Son engagement dans le milieu musical s'est également concrétisé à
travers la création du festival Jazz and Bio, ainsi que de la boîte de production/label Moultipass
(Moultipass.net) et du collectif de musiciens Vagalum.
Jean-François, tu as été mon professeur et tu nous accompagnes maintenant dans la belle aventure de JAZZ ON THE BEACH ! Merci !
